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Au Bal Des Cr​â​nes Dingues

by L'Arène des Sans Godasses

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    Ce disque est le fruit de notre passion pour la musique. Nous n'avons compté ni le temps ni l'énergie, parce que la création contemporaine est bien vivante en dehors des majors et de la culture officielle.

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1.
L’ange salaud Refrain Cupidon fait des siennes Derrière ses persiennes fermées A croire qu’il est manchot Ce petit ange salaud Et sous ses ailes maquillées Fleurissent nos poisons d’amour Nos poussières d’anges fatiguées De guetter les flèches en retour Il reste la plume et mon encre Pour écrire un vibrant haro Les rires résonnent en son ventre Et pleur mon ami Pierrot. Ref : Sinbad… en marin déchu Ne reviendra pas si indemne Des mots ont péri sous son cul Peut-être des 1000 « je t’aime ». Il nous reste à saisir au vol Nos idées folles et nos envies Et sous l’étreinte de nos vies A qui s’y pique, à qui s’y colle Ref : Clapots, tempêtes et ouragans Cupidon n’a pas mis de gants Au loin, la lune nous sourit Et serre les dents comme c’est permis. Jamais on ne se soumettra Aux piqûres de cet ange morose Nos bras suffisent et pour tout dire C’est sur tes yeux que je repose. Ref Cours petit Cupidon fébrile Petit con et petit « qu’on soigne » Pour croire en la saveur futile De l’amour qui ressemble au bagne. Si mes yeux baignent aujourd’hui Dans un fatras incandescent Je n’accorde plus de mépris A tous les équarrisseurs d’anges.
2.
Au bal des crânes dingues Mes rêves ont un silence Aux cymbales d’un vacarme Incessant sous la gorge Encore si tu t’en vas Je vague à l’arme blanche Je gémis quand tu penches Tes « veux-tu en voilà » Ton envol sur les hanches. Au bal des crânes dingues J’me suis paumé dans un bastringue Un feu-follet se maquillait Un miroir posé sur le zinc J’ai commencé par enfiler Des perles dans l’estaminet Puis j’ai eu l’envie sur les lèvres Comme l’espoir d’en terminer. D’enterrer l’Amor une fois Pour toutes et tenter le voyage Pour tout vous dire j’ai dans les yeux Une poussière de son paysage. J’me plais à dire « comme c’est sauvage Et c’est si bon de gambader Tout seul sur son petit nuage Et provoquer une embardée. Trouver le sol un peu trop mou Mériter mieux pour faire son trou Merde à la terre, Merde tout court J’ai envie de mordre et c’est tout. Tiens ! Un pantin se débine S’est balancé dans les ravines Mais dis-moi quand tu dors la nuit Pense-tu encore à ton ennui. Mes rêves ont un silence Aux cymbales d’un vacarme Incessant sous la gorge Encore si tu t’en vas Au bal des crânes dingues On a tout vu comme je me flingue La tête collée entre les mains Et une lame dans la carlingue. Une gueule plantée sans regard Sur les quais d’un aérogare Un geste tendre pour appuyer L’ombre d’un dernier au-revoir Un geste tendre pour appuyer Sur la gâchette et sur les tempes S’offrir une dernière lampée Sur le pouce et lâcher la rampe. Je te donne la liberté Je te donne mon dernier souffle Je m’interdis de t’étouffer De contribuer à ton barouf Je laisse au vent ma joie De toi, je garde la loi du cœur Un p’tit penchant pour ton bonheur Et puis Champagne ! Parce que j’y tiens Tiens ! Un pantin se débine Se fourre la gueule dans la bibine Ecrit son bal des crânes dingues Comme pour cracher dans les latrines. Mes rêves ont un silence Aux cymbales d’un vacarme Incessant sous la gorge Encore si tu t’en vas
3.
Les p’tits culs Les p’tits culs sont à la terre Ce que les étoiles sont au ciel On n’voit qu’eux et ce qui m’atterre C’est qu’ils sont mieux près du soleil Quand ils se tournent, on perd le Nord Quand ils remuent, c’est dans l’effort Mais au p’tit cul, la chance Sourit évidemment. Les p’tits culs sont si mignons Qu’ils en seraient presque effrayants Sous leurs culottes et leurs jupons Ils me paraissent rebondissants Quand ils sont faux, ils sont fuyants Quand ils ont l’feu, ils sont brillants Oui, au p’tit cul la chance Sourit évidemment. Les p’tits culs sont consentants A se poser de temps en temps Sur une chaise de terrasse Ils repartent sans laisser de traces. Quand ils sont drôles, ils s’tapent par terre Quand ils se frôlent, ils n’sont plus drôles Oui, au p’tit cul la chance Ne se partage pas vraiment Les p’tits culs sont débordés Je dirais même très très d’mandés C’est un combat au quotidien De ne pas tomber sur le sien. Quand ils se ratent, ils sont cul-de-jatte Il s e rattrapent dans un cul-de-sac Oui, au p’tit cul la chance SE résume à ses avances !
4.
LE BOURREAU DE SA REINE Je suis le bourreau de sa reine Je lacère, je triture, Je souris quand je torture. J’aime bien quand agonisent les miens. Quand dans la torsion J’émets une érection Ça paraît ridicule Et pourtant j’éja… … mais fait de mal à une mouche. La reine les aime bien surtout les moins farouches. Quand sur le bord du verre L’insecte délétère Se nourrit au vin rouge. Je suis le bourreau de sa reine. Je les pends, Je les fouette. Et je leur coupe la tête. J’aime bien quand agonisent les miens. La décapitation Stimule une érection Quand la tête articule Et bien là, j’éja… … mais fait de mal à une mouche La reine les aime bien surtout les moins farouches. Quand sur le bord du verre L’insecte délétère Se nourrit au vin rouge. Je suis le bourreau de sa reine. C’est à moi de décider La dernière heure du condamné. J’aime bien quand agonisent les miens. Lors de la pendaison J’ai comme une érection Quand l’âme capitule Et bien là, j’éja… …mais fait de mal à une mouche La reine les aime bien surtout les moins farouches. Quand sur le bord du verre L’insecte délétère Se nourrit au vin rouge. Je suis le bourreau de sa reine Il arrive de temps en temps Qu’elle me prenne pour amant Et elle aime quand mon fouet la flagelle Mais cette flagellation Me coupe l’érection J’ai l’air d’un ridicule Surtout quand je l’em… …pêche de réveiller les mouches La reine les aime bien surtout les moins farouches. Quand sur le bord du verre L’insecte délétère Se nourrit au vin rouge. Je suis le bourreau de sa reine Je n’ai pas faim du plaisir, Je raffole de voir souffrir J’aime bien quand agonisent les miens. La douce fellation Me file des boutons Si l’ogre gesticule Il faut que je l’em… …pêche de réveiller les mouches La reine les aime bien surtout les moins farouches. Quand sur le bord du verre L’insecte délétère Se nourrit au vin rouge. Je suis le bourreau de sa reine J’ai horreur de ses caresses Je préfèrerai l’ivresse De mes mains si j’étrangle les humains Le missionnaire Me file de l’urticaire Le 69 annule Son vœu que je l’em… …pêche de réveiller les mouches. La reine les aime bien Surtout les moins farouches Quand sur le bord du verre l’insecte délétère Se nourrit au vin rouge.
5.
Le temps de penser La ville est triste Les trottoirs vomissent Leur bile Sous le nez des réverbères. Les automobilistes Qui passent d’effacent Entre les essuie-glaces Et ne regardent pas derrière. Le pavé brille, il est froid Comme un macchabée Mais il quadrille la ville Pour donner le sens de marcher. Marcher ! Une belle occupation Pour apprécier le temps Et avoir l’impression De l’arrêter… quelques instants ! Les couloirs sont sales Jusque l’escalier La peinture écaillée Tombe à chaque marche. J’habite un studio modeste Pas loin du centre ville Mais, déjà, il y a un grand vide Lorsque j’ôte ma veste. J’allume une cigarette J’en pends une bonne bouffée A me faire tourner la tête Presque au point de m’étouffer. M’étouffer ! Une belle introversion Pour apprécier le temps Et avoir l’impression De l’arrêter… quelques instants ! La pluie s’est arrêtée Je pars travailler Sans entendre vraiment Les oiseaux qui chantent. C’est marrant comme on regrette soudain Les trottoirs vides de la veille Quand cette ville s’éveille Elle vous ramène un quotidien. Je me mets au gratin Sans trop savoir pourquoi Je pense qu’un beau matin Je m’arrêterais de penser Mais quand ? Quand ? Une jolie question Pour apprécier le temps Et avoir l’impression De l’arrêter… quelques instants !
6.
Bises en bona note (Salut à Christophe M.) Refrain Bises et bona note, Bellissima, c’est noté Je ne retrouve plus les mots : « Tous des poivrots, ces musikos !» Bises et bona note. Bellissima c’est noté Sur le verbe et les mots je ne rajoute rien du tout. Permettez--moi Madame De m’présenter sur votre ligne. Je glisse comme une peau d’banane Sur votre combiné mobile. Des mots j’en ai trop Plus que de forfait, je l’avoue Aussi, je m’adresse à vous Par SMS… c’est peu banal ! Je rentre de soirée Il est bien tard, je vous l’accorde Mais j’ai tordu trois au six cordes Dans une salle de cabaret Je suis un peu trop fait Ca c’est sûr, ça fait partie Du métier de casse-pieds J’en prendrai un dans la figure. Refrain Pardonnez-moi si vous N’êtes pas seule et si Je me permets de déranger Dans cet état d’ébriété. J’ai honte et pourtant Je suis sûr de n’pas penser A votre jolie paire de fesses Quant je me tape un SMS Excusez de ma part Le compagnon de votre nuit S’il est artiste je crois Qu’il comprendra mon âme triste. Mais dans le cas contraire Dîtes-lui que c’est de l’intox Que je n’voudrais pas le vexer Surtout s’il est champion de boxe. Refrain J’ai sensiblement forcé La dose vous le savez Des ballons j’en ai vu passer Un certain nombre. J’ai l’œil du sombre héros Il paraît qu’ça m’colle à la peau J’ai l’alcool bon, un peu trop bon Et je n’pense pas tout c’que je dis. Ca m’donne un élan morose Un petit brin de fantaisie Une grande folie amoureuse Et une haleine pas trop jolie. Je comprendrais sûrement Que vous me mettiez en tourment Mais dans l’métier du Cabaret On doit savoir se prendre un vent. Refrain Il est tard à présent J’ai la paupière qui se disloque Il paraît qu’au croissant de lune Les crapauds pleurent de solitude. Je dormirais sans cesse Si un jour j’ne devais plus Songer à votre paire de fesses Et l’envoyer par SMS. Bonne nuit et… Santé ! Je prends un dernier verre Je le lève et je porte un toast A tous les poivrots de la terre. Il faut savoir aussi Être un alcoolo solidaire Même s’il est dur d’être précis Quand je pense à votre derrière. Refrain
7.
Rassure Moi 02:46
Rassure-moi ! Y’a quelque chose qui veut sortir Une boule coincée dans la gorge Vient me gâcher tout le plaisir De penser à toi mon ange… Ça m’étonne que tu sois partie Faire la bringue en bord de mer Au bras d’un marin converti A ton sourire et tes manières. Refrain : Tes lèvres attendrissantes Me paraissent encore hésitantes Rassure-moi ! Dis-moi des mots sincères Sans jouer avec mes nerfs… Rassure-moi ! Ça fait deux heures que t’es partie Et tu me manques déjà Est-ce que cela fait partie Des effets de ma ganja. Je goûte au silence que tu laisses Adolescente patronnesse J’appuie la mauvaise détente Et je dévale sur cette pente. Refrain : Tes lèvres attendrissantes Me paraissent encore hésitantes Rassure-moi ! Dis-moi des mots sincères Sans jouer avec mes nerfs… Rassure-moi ! Je ne peux plus me contenter Des empreintes salées Insinuées dans les fibres Des draps devenus libres C’est sur ton sourire que je bande Ma belle indispensable Entre tes jambes je demande Un amour véritable. Refrain : Tes lèvres attendrissantes Me paraissent encore hésitantes Rassure-moi ! Dis-moi des mots sincères Sans jouer avec mes nerfs… Rassure-moi ! Y’a quelque chose qui veut sortir Une boule coincée dans la gorge Te ramène à mon souvenir Un regard un peu étrange Ça me ficelle l’estomac Ça m’asphyxie tous les poumons Ça me donne même de l’eczéma Quand j’en parle tout haut… Refrain : Tes lèvres attendrissantes Me paraissent encore hésitantes Rassure-moi ! Dis-moi des mots sincères Sans jouer avec mes nerfs Rassure-moi !!!!!
8.
Anisette 03:45
L’anisette Oh ma baby Tu vois je rentre tard Tu vois je rentre seul Avec ma guitare Oh ma baby, pourquoi tu bois du noir ? De toutes les cannettes C’est bien toi et de loin Que j’aime en cachette Décapsuler dans un coin Oh my midinette J’imagine un été Duo à Saint Tropez Le cul dans la croisette. Oh my baby Tu sens la nicotine Où se mêle un parfum De pur jamaïcain. Oh my baby, pourquoi tu broie du noir ? Tu sais je t’envie Ma jolie junkie De courir dans les herbes Folles et voler dans les airs. Oh my midinette J’imagine un été Duo à Saint Tropez Le nez dans l’anisette Oh my baby Tu te fous en pétard Dis-moi si j’ai raté Un épisode à ton histoire Oh my baby, pourquoi tes yeux sont noirs ? Tu sais mon amazone Je n’aime pas la bagarre Retire la couche d’ozone Que tu traînes dans le regard Oh my midinette J’imagine un été Duo à Saint Tropez Les pieds dans l’épuisette.
9.
LES IMPERFECTIONS Refrain : J'aime ta peau blanche Tes seins tous boudinés J'aime ta peau d'orange Et tes cheveux bouclés. J'aime tes poignées D'amour je me ferais Damné ; et d'années en années, Je les attraperais. J'aime tant les imperfections de ton corps Toutes ces convexes qui te donnent des complexes. Que je prends pour l'ironie du sort Quand je te vois planquer ton sexe. Je n'explique pas mes penchants Pour tout ce que tu détestes En toi sur le moment Tes p'tits sourires et tes grands gestes. Refrain J'aime tant aller dîner avec Tous ces défauts qui te puent au bec Et qui me mettent en appétit, Moi le p'tit con qui te tient compagnie. On est que deux sur Terre Quand tu es dans mes bras J'ai presqu'envie de faire Une overdose de tout c'qui t'va pas. Refrain Je ne mesure même plus la chance Que j'ai de t'emballer C'était moins sûr qu'une évidence Qu'on danse sur nos baisers. J'veux bien qu'on oublie d'en parler Mais n'me demande pas d'fermer Les yeux quand ils s'adressent Au coeur et à tous le reste ! Refrain
10.
ONIRIQUE IRONIE J’ai fait un troublant voyage Sur le dos de ton cul… hier J’ai bu, j’ai beau me défendre T’as répondu : « t’as plus qu’à t’les pendre ! » Petite espiègle manie Quant dans ton lit je rentre tout plein Complètement saoul ma mie Tu me réponds : « Où vas-tu l’ami ! » Je vais à la recherche de tendresse sur tes fesses Je m’étale et mon ivresse en pétale Me joue un petit tour quand tu veux m’imposer De retirer mes chaussettes sales. Je pensais pouvoir me détendre Poser ma joue sur ton cul… hier Je pensais pouvoir te surprendre J’t’ai marché dessus… pour trouver la lumière Y’a bien plus romantique comme entrée en matière Mais y’a pas moins épique pour te plaire Et malgré mon délire, tu n’as pas ton pareil Pour me dire : « Tu peux t’la mettre sur l’oreille ! » Je voulais te montrer Mon côté tendre et M’étendre sur ton cul… hier Tu n’as pas su répondre mais tu as su me dire : « Si tu veux, tu touches avec tes yeux ! ». J’ai fait un troublant voyage Sur le dos de ton cul… hier. Car j’ai rêvé que l’on s’aimait ma mie C’est bien une belle onirique ironie.
11.
Le verre de porto On aurait cru effacer de nos peaux Nos pauvres cœurs tatoués Remplis comme des éponges Et tenter un plongeon dans un grand verre de vin En vain, faire des songes et t’emmener au loin. Au loin où peu m’importe Là où les vents nous emportent Sur une île en compagnie De clopinants cloportes Une nuit dans un nid Une lune endormie Un bordel à minuit Des plombs que l’on exhorte. Refrain J’ai bien aimé nos matins fatigués L’ivresse de nos sangs Fondus comme un atome Une perle soufflée sur nos doux hématomes. Et nos rêves essouflés Dans un verre de porto. On aurait cru parfois se prendre au mot Echanger nos dessous et tous ces noms d’oiseaux Essayer de courir toujours da ns le même sens Et surprendre l’ennui dans des draps d’insolence. On se verrait toucher du bout des doigts La dentelle frileuse sur l’ombre d’un adieu L’orgue et le violoncelle unis pour tes beaux yeux Les bouts de la ficelle accordés au Bon Dieu. Refrain On aurait cru, sûr, à force d’y croire On aurait pu parler aux « mon joli miroir » Et rire de nos farces ou pire, petite garce Inventer un empire de flammes et de glace. On aurait senti le souffle fadasse Nos lambeaux innocents sur des reliures de strass On aurait fini par se lasser et puis par… Tir sans mégoter, sans laisser une trace. Refrain

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Il aura fallu un an et demi pour orienter musicalement ce qui nous semblait une évidence dans le piano voix.

Aussi sommes-nous 'on n'peut plus' heureux de te présenter le "Bal des Crânes Dingues", dernier album de l'Arène des Sans Godasses.

Pourquoi ne pas s'être contenté d'un enregistrement live? Parce que nous aimons la face créative du travail de studio, que nous pouvons y inviter les amis vers ce voyage que procure la production d'un disque. Aussi parce qu'à reprendre ainsi l'ouvrage, on en retire une richesse, une couleur, que nous aimons partager.

Que dire aujourd'hui du prix d'une chanson? Vaut-elle sincèrement moins cher qu'un Mars que l'on se paye pour se remonter le moral? La dématérialisation de la musique nous permet de vous proposer l'album à un prix plutôt raisonnable, n'est-il pas ?
D'accord, la crise est passée par là ! Aussi, même si nous n'avons compté ni notre temps, ni notre énergie pour achever cet album, vous pouvez toujours l'écouter sur cette page en attendant que les jours meilleurs reviennent... "On n'est pas des chiens tout de même !"

Pour les amoureux du support physique, le digipack vous est également proposé.

Bonne écoute ! On espère vous donner du plaisir !

Et on vous embrasse très fort entre les orteils !

L'Arène des sans Godasses

credits

released August 20, 2011

Texte: Sébastien Lemoine
Musique: Alexis Dendiével

Avec :
Jean-Baptiste Affagard: Guitare électrique
Hassan Aït Chattou: Percussions acoustiques
Guillaume Defrance: Basse
Alexis Dendiével: Piano, Keyboards, programmation, traversière, ajouts guitares, choeurs
Joachim Dendiével: Saxophone soprano
Elsa Destercke: Ukulele
Sébastien Guillaume: Violon
Benoît Legrand: Guitare électrique
Sébastien Lemoine: Chant
Sabrina Prouet: Deuxième voix

Arrangements: Alexis Dendiével & Sébastien Lemoine
Réalisation: Alexis Dendiével
Mix & Master: Yves Bouvard & Alexis Dendiével

Production VXLRecords 2011

Crédits photo : Thierry Perier
Infographie : D-GDf Média

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L'Arène des Sans Godasses Le Havre, France

L'Arène des sans Godasses est à la fois une formation virtuelle composée de musiciens de divers horizons et un groupe qui s'exprime sur scène avec une dominante piano-voix. En s'inscrivant dans la chanson française avec des compos originales, les Sans Godasses explorent de nombreux styles entre swing, valse, jazz et java avec une dose d'énergie qui les classe dans la sphère des musiques actuelles. ... more

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